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Vingt cinquième article : TW agression sexuelle et réflexion autour de la notion de consentement et de mon rapport à celui ci

Hello ! C'est en regardant la story insta de La Carologie (suivez la sur les réseaux, c'est une femme précieuse !), que m'est venu l'idée et l'envie d'écrire cet article. Une réflexion qui me revient de temps en temps. Je n'attends aucune forme de compassion, de réassurance de la part de mes proches sur ce sujet, ce n'est pas leur place ni le sujet, personne ne peut me réassurer à ce sujet, à part ma thérapeute. Je me questionne juste. TW agression sexuelle La dernière agression sexuelle que j'ai vécue, me laisse parfois pensive. On m'a accusée d'avoir commis l'acte dont j'ai été victime. Sympatoche hein ? Je ne comprends pas pourquoi. Enfin, si, je comprends pourquoi iels auraient aimé croire que c'était moi la fautive. Il est vrai que je suis le genre de personne à exprimer mon désir sexuel pour autrui. Il est vrai qu'il peut m'arriver d'appeler mae partenaire pour lui faire part de mon désir lae con

Bliblablou j'ai plus la tête au fond du trou

Les sensations d'après méditation sont clairement inégalables. On pourrait penser au sexe, mais là je sais que ce niveau de plénitude que me donne la méditation vient juste de moi. C'est quelque chose auquel je peux revenir quand je le souhaite, et que j'ai toujours en moi. Celui d'après le sexe, je le vis trop avec la personne avec qui j'ai pu partager ce moment. Cela me fait beaucoup de bien d'avoir des choses qui dépendent uniquement de moi. Je suis extrêmement reconnaissante. Aujourd'hui j'ai fait quelques pas de plus que jamais vers ma spiritualité. J'ai tenté d'entrer en contact avec mon animal totem. Je ne sais pas si l'essai à été concluant dans un sens de réussit et d'échec basique. J'attendais malgré tout une révélation qui n'a pas été au rendez-vous, mais je ne pense pas que cela soit un milieu de révélations. Plutôt de découvertes. D'illuminations. Je me suis sentie m'étendre. Je me suis sentie plus en fr

Vingt quatrième article : Bi visibility day

Hello ! Je viens d'apprendre qu'aujourd'hui, le 23 septembre, c'est la journée de visibilité des personnes bisexuelles. Du coup, j'avais envie de parler de mon vécu de personne bisexuelle. Avant de vraiment me poser la question entre mes 20 et 21 ans, j'ai toujours considéré que j'étais hétéro. C'était logique. Il n'y avait pas d'entre deux, soit on était hétéro, soit homo. Et les premiers amours/ attirances identifiés étaient des hommes. Or; c'est pas tout à fait vrai. En re réfléchissant à certaines situations, parfois à l'aide d'une amie lesbienne, je me suis rendue compte que bah, les femmes cela ne me laissait pas de marbre. Je la remercie d'ailleurs chaudement de m'avoir aidée à ça. Elle m'a aidée à me trouver, je suis allée à ma première LGBTQ+ pride avec elle et sa copine de l'époque à Paris. C'était génial. Merci du fond du coeur F. J'ai toujours trouvé le corps des femmes plus beau que le corp

Vingt troisième article : Here we come again

Hola ! On me faisait remarquer aujourd'hui une chose à laquelle je pense de temps en temps. Je n'écris plus. Et ouais, merci captain obvious. x) Quand j'ai commencé ce blog je ne pensais pas que cela prendrait la tournure actuelle. Ma thérapeute a totalement raison, je me suis exposée et non protégée en racontant pleins de choses ici. Et ce à quoi on pouvait s'attendre c'est produit, certains de mes mots ont été retournés contre moi. Je me pensais safe ici, mais bien sûr, ce n'est jamais le cas. Il faut que j'avance. Il y a quelques minutes, j'exprimais à quelqu'un le fait que j'ai l'impression à chaque fois que je suis "mal", donc vulnérable et exposée à des émotions que je considère négatives, j'ai l'impression d'être submergée par tous les éléments négatifs, traumatiques que j'ai jamais vécus. J'ai l'impression qu'à chaque fois la charge est plus lourde, et que je vais m'écrouler dessous. Mê

Vingt deuxième article : Truc machin chose

Hello. Cela fait plusieurs semaines que je n'arrive pas trop à écrire. Un nouveau truc que j'évite. Je me sens pas ouf. Il y a souvent des moments, peut être une fois par jour, où je me dis : tiens, j'aimerai écrire à ce sujet, oh puis sur ça, sur ça, j'ai écris des dos de factures entières au boulot. Mais j'ai pas envie de les recopier. Le but n'est pas de rendre ce blog "un devoir". Mais plus à défouloir, un endroit où je peux poser ce que je ressens. Je ne sais pas où j'en suis. J'ai envie de fuir des choses. C'est toujours très momentané les moments où cela va pas top. Et là je suis en plein dedans. J'ai l'impression que la vie c'est trop fatiguant pour moi. Que je ne vais pas y arriver. Que je vais passer ma vie à la trouver dure, fatigante. J'ai l'impression d'avoir trop de boulets à ma cheville. Mais ce n'est pas la plupart du temps comme ça. J'ai l'impression qu'il y a des morceaux de

Vingt-et-unième article : Long time no see

Hello. Je sais que je n'ai pas d'explications à fournir sur le pourquoi je n'écris pas beaucoup ces derniers temps, mais j'en ressens le besoin. En fait, il s'est passé deux trois trucs dernièrement dans ma vie qui ont fait que je me suis renfermée sur moi. Je fais ça des fois. C'est à dire que je ne parle pas de ce qui m'atteins. Et surprise, bah quand on enfouis les choses, et bien cela ne règle pas le problème. Il y a des événements de ma vie, des insécurités et des peurs liées auxquels j'ai du me re confronter, et c'était complexe. Cela m'a littéralement empêchée de rendre mon mémoire de M1 à temps. Et donc du coup je n'ai aucune idée de si un jour je vais pouvoir être psy un jour. Et cela me fais bien bien chier. A cause de quelques jours de retard. D'un protocole. De ma putain d'incapacité à bosser quand j'ai des problèmes en tête. Et aussi parce que des choses m'ont donné l'impression, à juste titre, d'

Vingtième article : Je me sens coincée

Hello. Là tout de suite maintenant, je me sens bloquée. Bloquée, et je me suis mise toute seule dans cette situation. J'ai tout créé de toutes pièces, pour me retrouver ici, coincée, et sans réel pouvoir d'action sur la suite. J'avais des choses à faire et je n'arrivais pas à m'y mettre. Le peu de cours où j'ai assisté cette année, j'y ai assisté stressée, souvent au bord de la crise d'angoisse, contrôlant ma respiration. Pourquoi ? Je ne sais pas trop. Je sais que la Master 1 de psychologie a été très difficile psychologiquement parlant. Il m'a mit face à toutes mes habitudes de travail que l'on peut aisément qualifier de mauvaises, de pas opérationnelles du tout. Et, j'ai vécu des choses, mes amis ont vécu des choses qui ont fait que je n'étais pas capable de me mettre à travailler. Le moment où je devais travailler était un réel calvaire, parce que c'était le moment où je devais me concentrer, et que tous les trucs négatifs me